Le Cyrano, c’est avant tout un lieu centenaire et chargé d’histoire, un bistrot au décor intact qui fut une maison close avant de devenir le bistrot favori des surréalistes. Depuis la rentrée 2022, les quatre copains qui ont repris l’affaire ont modernisé l’adresse en dépoussiérant les assiettes de bistrot. La cheffe Charleyne Valet propose une cuisine généreuse, simple et inventive. Le Cyrano c’est un lieu de vie où l’on peut venir dès le café du matin jusqu’au dernier verre.
Prix : €€
Bouchon au cœur du Vieux Lyon dans le quartier de Saint Paul. Deux espaces dont parfaitement adaptés pour des belles tablées (jusqu’à 35 personnes et plus sur l’ensemble du restaurant)
Les grandes spécialités lyonnaises : escargots au beurre persillé, œufs en meurette, andouillette à la fraise de veau, quenelle de brochet et sa bisque maison, tête et langue de veau, pieds de cochon désossés, queue de bœuf, cassolette de tripes, Saint-Marcelin, tarte aux pralines, et plus encore.
Le restaurant Au Petit Bouchon “Chez Georges” est un authentique bouchon lyonnais depuis 1960, installé au cœur de la presqu’île, à coté de l’Opéra.
Aux commandes Nicolas Framinet & Romain Camous mettent un point d’honneur à préserver la tradition & la renommée de cette institution lyonnaise dans un cadre convivial & authentique.
Dégustation de Beaujolais Nouveau le jeudi 21 Novembre.
Nous vous proposons de découvrir plusieurs millésimes de Beaujolais Nouveaux du Domaine du Château de Grand Pré de Romain Zordan.
Vous pourrez également déguster un menu typique Beaujolais (en plus de notre carte habituelle) : les oeufs Meurette au Beaujolais, la Tête de veau au Beaujolais et les pruneaux au Beaujolais & glace vanille.
Venez Fêter l’arrivée du Beaujolais nouveau à la Maison des Beaujolais
– de 10h à 19h avec un Machon 21 €
– ou durant les repas avec un menu Beaujolais Vins Nouveaux Compris 44 €
et une dégustation de plus de 120 Vins Nouveaux du Beaujolais
Ayaka et Michio Uetama vous accueillent dans le plus lyonnais des bistros japonais !
L’adresse incontournable située au Pavillon de la triperie ! Au Veau qui tête revisite les grands classiques des produits tripiers sous toutes leurs coutures, dans une ambiance de bistrot unique.
L’auberge du Coucou est une très belle auberge nichée au cœur de la forêt et entourée de chemins de balade pour vos randonnées
Chaque jour, chaque nuit, quand le crépuscule se noie dans la Seine, le néon rouge de la façade baroque enflamme la rue des Grands-Augustins. Le signal d’alarme retentit dans les ventres et palais initiés, Augustin Marchand a ouvert les portes de son repaire. Le Pop ! des sirènes de verre brûle les murs en pierre de taille et pour tous les Alighieri de Paris, il est temps d’entrer, d’entamer leur métamorphose.
Créée en 1890, la maison sert d’abord de dépôt de charbon, puis de bois et enfin de vin. En 1914, la famille Fouet, alors propriétaire des lieux, décide d’ouvrir le magasin sur la rue pour faire découvrir ses vins au public. Daniel Violet reprend l’adresse juste après la deuxième guerre mondiale et en fait le bouchon le plus couru de la capitale. Le « père Violet » voue clairement une passion immodérée pour la cuisine lyonnaise qui, déjà à cette époque, séduit la capitale et attire une clientèle fidèle. C’est cette ferveur pour le goût lyonnais qui a provoqué le coup de cœur d’Alain Ducasse pour cette adresse mythique qu’il reprend en 2002.
Le décor
Le bistrot conserve sa façade de bois rouge et son enseigne « Maison lyonnaise ». Il continue à cultiver l’atmosphère des bouchons lyonnais traditionnels. Sur le buffet, une vieille machine à café à piston laisse échapper un nuage de vapeur. Derrière le comptoir en bois recouvert de zinc et d’étain, quelques bouteilles, déposées dans une grille à vin placée sous un flot continu d’eau froide, attendent d’être commandées. Boiseries et moulures aux motifs floraux, luminaires Art pompier et faïences « métro » ornent murs et plafonds. Les créations contemporaines de Jean-Claude Novaro, célèbre verrier de Biot (Alpes maritimes), ponctuent l’espace. Aux deux étages, des glaces biseautées renvoient le spectacle de la salle où s’activent les serveurs, sautoir en cuivre ou cocotte en fonte orange à la main. Sur les tables en chêne aux armatures en acier, des serviettes, des assiettes blanches, des couverts volontairement dépareillés en argent, des gobelets à facettes pour l’eau, des verres ballon pour le vin attendent les convives.
La cuisine
Une assiette vintage au goût du jour
La tradition doit inspirer, pas immobiliser. Victoria Boller a la liberté de celle qui est sûre de ses racines. Et quand on a la cuisine lyonnaise dans le sang, ça donne des ailes. Elle en livre donc sa propre interprétation, vive et mordante. Si les repères sont là (pâté croûte, brochet, boudin…), il n’y en a pas moins une légèreté et une fraîcheur qui donne à cette cuisine de bouchon une tonalité résolument contemporaine.