Les Rendez-vous Beaujolais est une plateforme qui présente les ambassadeurs du Beaujolais : Bistrots Beaujolais et des maisons et domaines du Beaujolais ainsi que les différents événements Beaujolais organisés en France et dans le monde.
Programme de la fête du Beaujolais Nouveau
Mercredi à minuit pour les initiés : ouverture des premières bouteilles de Beaujolais Nouveau et charcuterie du beaujolais offerte
Jeudi : grande soirée du Beaujolais Nouveau avec carte spéciale.
On continue la fête vendredi, samedi et dimanche midi et soir
9h casse croûte
12h repas beaujolais
Grillades de châtaignes toute l’après midi
19h repas beaujolais avec animation musicale
Rejoignez-nous ce jeudi 16 novembre à La Cave du Manet pour une dégustation des Beaujolais Nouveaux, accompagnés de mets à déguster tout au long de la journée et bien sûr de la musique guinguette pour se plonger pleinement dans l’ambiance ! Comme chaque année, 4 domaines et maison seront à l’honneur pour cette dégustation : Mommessin, Domaine Fagolet, Domaine Jean-Paul Brun et Domaine Gilles Philibert !
Nous vous attendons nombreux pour cette super journée 🍷🥳
Venez célébrer avec nous l’arrivée du Beaujolais Nouveau. L’occasion, aux prémices de l’hiver, de boire un verre ensemble en découvrant ce nouveau millésime.
Planche de charcuterie, fromage et verre de vin, n’hésitez pas à vous joindre à nous !
Votre cave à manger préférée Le Cellier s’habille en guinguette pour fêter le Beaujolais Nouveau ce jeudi 16 novembre à partir de 19H00
Au programme :
🪗 Accordéoniste dès 19h30
🍷 Sélection de Beaujolais par la Cave “LE BIDULE”
🥓 Planche de charcuterie à l’ancienne
🍴🍷 Et toute la carte habituelle du CELLIER
Convivialité et partage seront au rendez-vous 🌟
Réservez votre table sur https://stephanepitre.fr/restaurant-lecellier/
Découverte des Beaujolais Nouveaux natures et traditionnels, dégustation de charcuteries et fromages de l’Aveyron en direct producteur! Chants et danses traditionnels du BIGO.
L’adresse incontournable située au Pavillon de la triperie ! Au Veau qui tête revisite les grands classiques des produits tripiers sous toutes leurs coutures, dans une ambiance de bistrot unique.
Chaque jour, chaque nuit, quand le crépuscule se noie dans la Seine, le néon rouge de la façade baroque enflamme la rue des Grands-Augustins. Le signal d’alarme retentit dans les ventres et palais initiés, Augustin Marchand a ouvert les portes de son repaire. Le Pop ! des sirènes de verre brûle les murs en pierre de taille et pour tous les Alighieri de Paris, il est temps d’entrer, d’entamer leur métamorphose.
Créée en 1890, la maison sert d’abord de dépôt de charbon, puis de bois et enfin de vin. En 1914, la famille Fouet, alors propriétaire des lieux, décide d’ouvrir le magasin sur la rue pour faire découvrir ses vins au public. Daniel Violet reprend l’adresse juste après la deuxième guerre mondiale et en fait le bouchon le plus couru de la capitale. Le « père Violet » voue clairement une passion immodérée pour la cuisine lyonnaise qui, déjà à cette époque, séduit la capitale et attire une clientèle fidèle. C’est cette ferveur pour le goût lyonnais qui a provoqué le coup de cœur d’Alain Ducasse pour cette adresse mythique qu’il reprend en 2002.
Le bistrot conserve sa façade de bois rouge et son enseigne « Maison lyonnaise ». Il continue à cultiver l’atmosphère des bouchons lyonnais traditionnels. Sur le buffet, une vieille machine à café à piston laisse échapper un nuage de vapeur. Derrière le comptoir en bois recouvert de zinc et d’étain, quelques bouteilles, déposées dans une grille à vin placée sous un flot continu d’eau froide, attendent d’être commandées. Boiseries et moulures aux motifs floraux, luminaires Art pompier et faïences « métro » ornent murs et plafonds. Les créations contemporaines de Jean-Claude Novaro, célèbre verrier de Biot (Alpes maritimes), ponctuent l’espace. Aux deux étages, des glaces biseautées renvoient le spectacle de la salle où s’activent les serveurs, sautoir en cuivre ou cocotte en fonte orange à la main. Sur les tables en chêne aux armatures en acier, des serviettes, des assiettes blanches, des couverts volontairement dépareillés en argent, des gobelets à facettes pour l’eau, des verres ballon pour le vin attendent les convives.
Une assiette vintage au goût du jour
La tradition doit inspirer, pas immobiliser. Victoria Boller a la liberté de celle qui est sûre de ses racines. Et quand on a la cuisine lyonnaise dans le sang, ça donne des ailes. Elle en livre donc sa propre interprétation, vive et mordante. Si les repères sont là (pâté croûte, brochet, boudin…), il n’y en a pas moins une légèreté et une fraîcheur qui donne à cette cuisine de bouchon une tonalité résolument contemporaine.
Le Monge, situé au cœur du 5ème arrondissement de Paris, vous accueillera aussi bien pour déjeuner que pour dîner avec des plats du jour toujours plus savoureux. Dans un cadre convivial, produits de qualité et cuisine traditionnelle seront au rendez-vous.
