Situé 16 avenue de Villiers, le restaurant «Brigitte» a tout pour séduire la clientèle affairée du midi, mais aussi les familles le soir. Il se loge dans l’est dynamique du XVII° arrondissement, à deux pas des Batignolles et du Parc Monceau. Son nom est un hommage respectueux à la maman d’un des associés de cet établissement.
Le restaurant offre 50 places toute l’année, et une trentaine de plus en terrasse aux beaux jours.
Type d’établissement : Bistronomie
Le Richer, c’est le bistrot de quartier par excellence. Un lieu de vie et d’habitudes créé en 2012 avec le charme de l’essentiel et surtout, d’une clientèle fidèle. Ouvert tous les jours, de 8h à minuit, voilà le genre d’adresse qui appartient à ceux qui la consomment. On y mange, on y travaille ou boit un verre ; la joie est simple, mais pas moins travaillée.
En cuisine, c’est une certaine vision du goût qui y est mise en scène : pensés et préparés à partir de produits locaux, dans le respect de la saisonnalité, les plats ont du sentiment. La carte évolue chaque semaine. S’y fréquentent fromages affinés et bistronomie parisienne affirmée : ravioles de champignons, coriandre, daïkon, bouillon shiitake-citronnelle.
Situé au cœur de Paris à deux pas de l’église Saint Médard et du marché Mouffetard, Calice est avant tout un lieu de vie où l’accueil et le service sont des valeurs cardinales.
Sa cuisine grande ouverte et son comptoir, sa grande terrasse couverte, son talentueux chef de cuisine, son accueil chaleureux au déjeuner et au dîner en font une expérience humaine et gustative idéale pour sublimer l’ordinaire.
Le restaurant est composé de 3 espaces distincts pour 3 expériences différentes que ce soit en terrasse, au comptoir ou dans la salle verrière ou un puit de lumière inonde cet espace cosy.
Cuisine raffinée, produits locaux et maison majestueuse au cœur du Beaujolais
Au Cèdre vous trouverez un moment de convivialité et de plaisirs gourmands! Pour un apéro ou un diner, pour un moment de calme dans notre jardin sous le Cèdre. Je travaille au quotidien pour vous proposer des plats qui ont du goût, des saveurs particulières, en respectant toujours les saisons et en travaillant avec des producteurs locaux. Côté cave, vous pourrez découvrir et déguster des vins de France et du Monde, notamment une large sélection de vins du Beaujolais.
La plupart des boissons que nous proposons sont en AB, Demeter ou nature.
A très bientôt.
Benoît Lefort
Au calme du cours Vitton, un petit bistrot de quartier à l’ambiance décontractée et chaleureuse.Une cuisine entre tradition française et évasion gustative aux influences des voyages du chef.Ici les menus changent au fil des saisons et des arrivages pour continuer de vous surprendre à chaque passage.
Haut lieu de la résistance, le Café Max (autrefois appelé le café Hélice) fut à partir de 1941 les coulisses clandestines de la résistance grâce à son propriétaire Eugène Germain et à ses quelques amis qui tenaient secrètement les rênes d’un réseau de résistance française.
En contact régulier, depuis le bistrot, avec les services du Général de Gaulle à Londres, ils ont pu déjouer de nombreux complots.
En 1972, le café fut rebaptisé ‘Café Max’ en l’honneur de Jean Moulin, membre de ce petit groupe d’espions, dont le nom de résistant était Max. Le Café Max est depuis, le repaire préféré des chuchoteurs qui se plaisent à s’y retrouver.
Propice aux discussions feutrées, il accueille fréquemment d’anciens espions ou policiers français reconvertis, de hauts fonctionnaires ou des figures du renseignements d’affaires, des généraux, politique ou cadres du CAC 40.
Propriété de Valdo Riva pendant plus de 18 ans, il cède le Café Max en septembre 2022 au chef Frédéric Vardon, propriétaire du restaurant Le 39V, avenue George V à Paris.
Cet emblématique estaminet au décor originel avec son comptoir en zinc du début du siècle, ses tables en bois et ses banquettes rouges, garde toute son âme avec l’arrivée du chef Frédéric Vardon. Au cœur de Paris, entre les Invalides et École Militaire, ce bistrot douillet et convivial de 28 places reste incontournable. On y vient pour son style bistrot, sa cuisine généreuse, son atmosphère feutrée et son propriétaire amoureux des bons produits.
La terrasse du Café Max vient agrémenter cette institution parisienne et vous propose une place au soleil pour profiter des beaux jours. Le café Max perpétue ainsi la tradition et reste le repaire discret et propice aux échanges où l’on s’encanaille simplement autour de discussions d’affaires, de confrères, d’amis ou de famille.
Au Père Lapin
160 ANS ET BIEN DANS SON TEMPS
Cette véritable institution, née en 1861, fête ses 160 ans cette année, sans avoir perdu l’entrain de sa jeunesse. Les propriétaires y veillent avec soin. Johann Caillot par son accueil chaleureux et son œil en salle vigilant, et le chef Guillaume Delage, prêt à célébrer, toujours avec autant de soin, cette cuisine gourmande et créative qui connaît ses classiques.
UN LIEU ATTACHÉ À L’HISTOIRE DE PARIS ET SURESNES
Le jour où Paris décréta un octroi sur la consommation de vin sur son territoire, la clientèle traversa la Seine le dimanche pour aller se promener du côté de Suresnes et dans les environs afin de déguster le champêtre petit blanc issu du vignoble suresnois, qui perdure de nos jours. L’auberge du Père Lapin était née. Elle doit son nom à la construction du fort du Mont Valérien qui nécessita de très nombreux terrassiers souvent venus de la Creuse et que l’on nommait : les lapins. En hommage, la gibelotte de lapin y fit son apparition, sans ne jamais plus quitter la carte.
BRAS, ANTON, GAGNAIRE EN HÉRITAGE
Ce restaurant qui a tout d’une auberge contemporaine célèbre toujours avec autant de soin, cette cuisine gourmande, qui sait composer des assiettes créatives bien dans leur temps, est portée par Guillaume Delage, chef passé par les plus grandes Maisons (Bras, Anton, Gagnaire, et le bistrot Jadis qu’il a créé…). Le cuisinier n’a pas son pareil pour offrir des plats « canaille » qu’il a su réveiller. Les ris de veau ? Il les passe au barbecue préalablement afin de laisser un délicat goût de fumé en bouche. Le poulpe : il est fouetté d’une rouille au noir dense au goût intense, la crépinette de grouse farcie au foie gras ? sa sauce est finement fruité par l’acidité du cassis…
CHEMINÉE OU JARDIN ? ON S’Y SENT BIEN, HIVER COMME ÉTÉ
Johann Caillot, le propriétaire, s’est appuyé sur l’histoire du restaurant et ses formidables atouts, pour façonner un lieu attachant et engageant. Un cadre soigné et chaleureux, des produits frais, de saison, qui privilégient le local, des équipes bienveillantes…une expérience à vivre et à revivre, devant la cheminée l’hiver et entre terrasse et jardin dès l’arrivée des beaux jours.
UNE CUISINE À POIL ET À PLUME EN SAISON
Le chef se régale de cette saison automnale où le gibier peut faire son entrée en cuisine. Reconnu pour sa tourtière de colvert et foie gras, choux et pommes boulangère, comme pour sa crépinette de grouse rôtie qu’il accompagne en ce moment de blettes et trompettes-de-la-mort. Quant à sa recette de lièvre à la royale toute personnelle, elle réconcilie le sénateur Couteaux et Antoine Carême.
À l’angle de la rue de Lancry et de la rue du Château d’Eau, HABILE. est une maison à leur image.
Un restaurant, d’abord. Un endroit où l’on fait à manger pour restaurer, pour faire du bien, pour faire le bien.
Dans l’assiette et dans les verres, Éric et Camille peuvent mettre un nom sur toutes celles et tous ceux qui cultivent, élèvent, pêchent et vinifient.